Réception, préparation de commandes via solution vocale, gestion des stocks, suivi des opérations, KPI’s… Depuis près d’un an, le distributeur espagnol d’équipements et de mobilier de bureau, Kalamazoo, a vu son entrepôt logistique de 11 800 m2, situé aux abords de Bilbao, se moderniser. Depuis fin 2023, son fournisseur de solutions intralogistiques et logiciels pour la supply chain y a intégré son application modulaire end-to-end ODATiO accompagné du module Connect Master assurant l’interface avec l’ERP existant. L’objectif ? Offrir à Kalamazoo une gestion complète du périmètre de son entrepôt et des 7 000 références qui y sont stockées via un seul et même système alliant performance et innovation. Aujourd’hui, grâce à ODATiO, la société dont les ventes s’effectuent essentiellement par le web, prépare une moyenne de 6 000 lignes de commandes par jour, pour un volume moyen de 2 500 colis expédiés par jour, soit environ 750 colis/h traités sur la ligne mécanisée.
Gérer tous les processus de l’entrepôt dans un seul système
Déjà équipé d’une ligne mécanisée et d’un WMS du groupe SAVOYE, Kalamazoo souhaitait, pour ce nouveau projet, accompagner sa croissance en réalisant un véritable saut technologique. Fort de son long partenariat avec SAVOYE, l’enseigne a tout naturellement fait appel à son prestataire. « En raison de l’obsolescence de notre ancien outil LM7, nous avons travaillé à l’implémentation d’ODATiO dans notre centre logistique. Cet outil nous permet de gérer tous les processus de l’entrepôt dans un seul système et de disposer d’informations en temps réel sur chaque unité de stock.», explique Leila Outeiral, responsable supply chain du site Kalamazoo. « Outre la mise en place de notre solution ODATiO en mode licence, ce projet a fait l’objet d’une forte collaboration avec notre client autour de la conduite du changement. Nous avons travaillé de concert avec Kalamazoo pour accompagner les 27 utilisateurs sur site, dont 10 désormais équipés d’une solution vocale pour faciliter leur activité de préparation de commandes », conclut Brice POZZOLI.